Nicolas chez Hightekers après avoir essayé la SARL et le portage salarial
Pour lancer son activité en freelance, plusieurs options sont possibles en France : créer sa propre société (et les contraintes administratives que cela implique), travailler pour ses clients via une société de portage salarial, ou encore faire appel à une société de gestion d’activité. Certains, comme Nicolas, ont connu les trois situations. Voici son témoignage tout en transparence sur son expérience, ses succès mais aussi ses mésaventures, et sa situation actuelle avec Hightekers.
Le parcours de Nicolas
Nicolas est ingénieur de formation, et exerce depuis plus de 20 ans dans les différents domaines liés aux infrastructures, avec une spécialité en VMware. Profil dévoué et motivé, il a longtemps été fidèle à son ancien employeur, puis à son premier client quand il est devenu indépendant. Après avoir été attiré par les sirènes du freelancing, il a été déçu des nombreux inconvénients que représentent la gestion d’une entreprise, au point de faire marche arrière et de revenir dans le salariat… puis de se donner une deuxième chance en freelance avec l’aide du portage salarial. Il nous racontera ensuite comment il a découvert la gestion d’activité Hightekers. Voici son histoire.
Son expérience de freelance avant Hightekers
Q/ Nicolas, pouvez-vous nous raconter un peu ce qui vous a amené vers l’indépendance ?
J’ai toujours aimé mon métier et les équipes avec qui j’ai eu la chance de travailler lors des mes précédents emplois, mais le freelance représentait la flexibilité et les revenus auxquels j’aspirais. Cela étant, ma relation avec le freelancing n’a pas été de tout repos, et j’ai dû y revenir à deux reprises pour y trouver le bien-être que je recherchais.
Q/ Quelles ont été vos expériences en freelance avant Hightekers ?
Complexes ! En effet, après avoir monté et géré ma SARL en 2015, j’ai adoré avoir le contrôle sur tout, mais j’ai été rapidement rappelé par la réalité : un nombre d’heures considérable à devoir gérer l’administratif, la facturation, les relances de paiements, toutes les assurances et mutuelles complémentaires à gérer… sans parler des erreurs de mon ancien expert comptable. Bref, de trop nombreux aspects négatifs qui m’ont malheureusement poussé à revenir vers le salariat pour me retrouver. Alors que j’avais les clients et les demandes pour rester indépendant !
Q/ Vous dites avoir réessayé le freelance ensuite avec le portage salarial ?
En effet, après avoir créé mon entreprise (ndlr: SARL), je suis retourné dans le salariat traditionnel. Mais je sentais que je n’avais pas vécu pleinement le freelance comme je l’aurais dû. Et puis la rémunération n’était évidemment pas la même que celle que je pouvais espérer en indépendant. C’est alors que j’ai mieux compris l’intérêt du portage salarial et ses avantages permettant de ne pas à avoir à créer d’entreprise pour exercer en freelance. Suite à mon expérience complexe et chronophage en SARL, le portage salarial semblait être la solution parfaite !
Q/ Et l’était-elle ?
Oui et non. Indéniablement, je n’avais plus à gérer aucun aspect administratif, plus d’entreprise à gérer au quotidien, plus de charge mentale concernant ma retraite, ma mutuelle santé ou encore ma prévoyance. Grâce à mon contrat de travail en CDI en portage, je n’avais plus à me soucier de ces aspects d’entrepreneur. Mais j’ai rapidement senti les limites de l’entreprise de portage de l’époque. Peu d’interactions ni d’accompagnement de mon chargé de compte, des rémunérations pas toujours transparentes, peu d’avantages concrets, et pas d’échanges avec d’autres experts de mon domaine.
Du portage salarial vers Hightekers
Q/ Finalement, comment vous êtes-vous retrouvé chez Hightekers ?
En échangeant avec d’autres consultants en infrastructures cloud lors d’événements ou de soirées networking, j’ai pu comparer ma situation aux autres. Et je crois que c’est lors d’un de ces événements qu’un consultant m’a parlé d’Hightekers. J’ai d’abord suivi l’un de leur webinaire, puis de passage à Dubaï pour une mission, j’en ai profité pour les rencontrer dans leur antenne locale là-bas. J’ai rapidement été séduit par la puissance de leur réseau international et de leur transparence sur la rémunération. Mais aussi leur approche des revenus à mi-chemin entre le portage salarial traditionnel et le statut d’associé qui nous permet d’être intéressé sur les résultats.
Q/ Avez-vous senti une différence entre le portage salarial et Hightekers ?
Oui, très clairement. D’ailleurs, j’ai le même client depuis 2018, donc j’ai pu comparer très distinctement le “avant/après” de ma situation personnelle, de mes avantages et surtout de ma rémunération. Je suis très bien accompagné sur la partie administrative et la sécurisation de mes revenus s’il arrive quoique ce soit avec mon client. Je sens que mon activité est parfaitement gérée, et je n’ai aucun souci à me faire.
Plus de temps et moins de stress
Q/ Quelle est votre relation avec votre coordinateur Hightekers ?
Excellente. Salima est très bien, réactive et très claire dans ses explications. Quand je lui pose des questions précises ou techniques, elle n’hésite pas à faire appel aux experts fiscaux internes et revient toujours vers moi rapidement. Grâce à cet accompagnement, je n’ai plus jamais à me soucier de ma facturation, des paiements, de mes charges sociales ou des impayés. C’est vraiment un stress en moins.
De meilleurs revenus
Q/ Vous parliez de la puissance du réseau Hightekers. Avez-vous déjà recommandé un autre consultant ?
Oui, deux même. D’ailleurs le deuxième vient à peine de commencer et je crois qu’il est déjà très satisfait ! De mon côté, c’est un vrai plus sur ma rémunération. Comme leurs TJM sont plutôt élevés et que je touche 2% de leur CA pendant 2 ans, c’est un complément de revenu non négligeable, sans rien faire. Mais si je recommande Hightekers, c’est avant tout pour la qualité des services et de son accompagnement.
Q/ Si vous deviez donner une note à votre expérience avec Hightekers ?
9/10 !
Libérez-vous des contraintes du freelancing tout en restant 100% indépendant !